Josué 20

La Bible du Semeur

1 L’Eternel parla à Josué et lui demanda2 de communiquer les instructions suivantes aux Israélites: Choisissez-vous les villes de refuge dont je vous ai parlé par l’intermédiaire de Moïse[1]. (Nb 35:9)3 Celui qui aura tué quelqu’un involontairement, par inadvertance, pourra s’enfuir dans l’une de ces villes qui vous serviront ainsi de refuge contre l’homme chargé de punir le crime.4 L’homicide s’enfuira donc dans l’une de ces villes et s’arrêtera à l’entrée de la porte pour exposer son cas aux responsables de la ville. Ceux-ci l’admettront auprès d’eux dans la ville et lui attribueront un lieu, et il habitera là chez eux.5 Si l’homme chargé de punir le crime le poursuit, ils ne lui livreront pas le meurtrier, puisque c’est par inadvertance qu’il a tué la personne, sans avoir jamais éprouvé de haine pour elle.6 Il restera dans cette ville jusqu’à ce qu’il comparaisse devant l’assemblée pour être jugé, et jusqu’à la mort du grand-prêtre en fonction à cette époque-là. Après cela, il pourra retourner dans sa maison, dans sa ville d’origine, celle dont il s’était enfui.7 Les Israélites réservèrent à cet usage Qédesh en Galilée, dans la région montagneuse de Nephtali, Sichem dans les montagnes d’Ephraïm, Qiryath-Arba, c’est-à-dire Hébron, dans les montagnes de Juda.8 De l’autre côté du Jourdain, à l’est de Jéricho, ils désignèrent Bétser sur le plateau désertique de la tribu de Ruben, Ramoth en Galaad, une ville de la tribu de Gad, et Golân en Basan, ville de la tribu de Manassé.9 Ces villes furent désignées pour servir de refuge à tout Israélite et aux étrangers séjournant parmi eux; quiconque aurait tué quelqu’un involontairement pourrait s’y enfuir pour ne pas être tué par l’homme chargé de punir le crime, avant qu’il comparaisse devant l’assemblée.

Josué 20

Hoffnung für alle

1 Der HERR sprach zu Josua:2 »Befiehl dem Volk, Städte auszuwählen, die als Zufluchtsorte dienen sollen, wie ich es euch schon durch Mose gesagt habe.3 Sie sollen jedem Schutz bieten, der ohne Absicht einen Menschen getötet hat. An diesen Orten ist man vor der Blutrache sicher.4 Wer dorthin flieht, muss sich gleich am Stadttor den führenden Männern des Ortes stellen und seinen Fall schildern. Dann soll er in die Stadt aufgenommen werden und eine Unterkunft erhalten.5 Wenn jemand ihn verfolgt, um den Getöteten zu rächen, dürfen die Einwohner der Stadt ihn nicht ausliefern. Denn er hat die Tat nicht vorsätzlich, sondern aus Versehen begangen.6 Er soll an dem Zufluchtsort in Sicherheit sein, bis ein Gericht über ihn entschieden hat. Wird er freigesprochen, soll er bis zum Tod des Hohenpriesters in der Stadt bleiben. Erst dann darf der Totschläger in seine Heimatstadt zurückkehren, aus der er fliehen musste.«7 Die Israeliten wählten folgende Zufluchtsstädte aus: Kedesch im Bergland von Naftali in Galiläa, Sichem im Bergland von Ephraim und Kirjat-Arba, das heutige Hebron, im Bergland von Juda.8 Östlich des Jordan bestimmten sie Bezer, das in der Steppe der Hochebene weit im Osten von Jericho liegt und zum Stamm Ruben gehört, dann Ramot im Land Gilead im Stammesgebiet von Gad und schließlich Golan im Land Baschan im Gebiet von Manasse.9 Diese Städte wurden für alle Israeliten und für alle Ausländer, die unter ihnen lebten, als Zufluchtsorte festgelegt. Dorthin konnte jeder fliehen, der unabsichtlich einen Menschen getötet hatte. Hier war er vor der Blutrache sicher, bis ein Gericht über ihn entschieden hatte.